Une revue nouvelle, une antinomie céleste.
Parce que la critique du ciel n’est pas finie et qu’elle ne fait que commencer, cette fois-ci, non plus pour le liquider, mais pour le soustraire des mains de ceux qui en son nom gouvernent.
Contre-ciel.
Parce que le capitalisme s’est emparé du ciel au nom de sa liquidation.
Contre-ciel.
Parce qu’aucune révolution nouvelle ne bourgeonnera sous un ciel captif.
Contre-ciel.
Parce que le ciel est ici bas et que la Terre veut y tomber.
Contre-ciel.
Parce que le ciel n’est ni réductible à l’être, ni réductible au symbole, ni réductible aux particules.
Contre-ciel.
Parce que la Terre manque au ciel.
Contre-ciel.
Avec les contributions de Mohamed Amer Meziane, Amandine André, Federico Campagna, Anna Carlier, Pierre Chopinaud, Benjamin Fouché, Justine Gensse, Angélique Humbert, Christine Lavant, Emmanuel Moreira, Frédéric Neyrat, Olivia Tapiero